Gourmandises (4)
Gourmandises.. Vagues. (2)
Gourmandises... un jour sur deux... (1)
Gourmandises aquarelle (1)
funambule : Heureux de voir que vous avez suivi les chemins jusqu'ici.
MangakaDine : Un fond d'écran de Joueb fascinant...
funambule : Sourires..Fascinant ? Pourquoi fascinant ?
MangakaDine : Moi il me fascine...allez savoir pourquoi? Est-ce que ces choses là osnt préméditées? Peut-être la bande blanche du milieu, qui sait...
funambule : Sourires..
allez savoir pourquoi, c'est vrai.
Comme c'est simplemnt une recherche de simplicité, de lisibilité.. et un partage d'écran, pour une partage de musiques..
mais merci..
Songe : Heureuse et belle initiative que voilà :) !
funambule : Merci Cher Songe..
..Toujours le partage..
Et le partage à plusieurs, c'est plus facile.
Tiens c'est vrai.. pourquoi c'est moi qui répond.. rires..
Hinano : Parce que vous avez vu le commentaire en premier, sourires...
gribouillon : un p'tit coin bien sympa :) bises
Hinano : C'est gentil ça, merci :)
funambule : Et des sourires en écho..
Août 2005 : 1 article
Juillet 2005 : 10 articles
Juin 2005 : 30 articles
Mai 2005 : 3 articles
A peine des bribes de ce que j'ai pu écouter ces derniers temps...
Clarika, peut-être plus. Et que je connais mieux...
A quoi pensent les patineurs ?
Quelques chansons qui font mon présent.
Barbara d'abord...
Et puis ne pas commenter.
Ou alors une liste de prénoms..
Ou dire.. Mélancolie, Espoir, Nostalgie, Tendresse...
et cette phrase de Barbara
« Toute rencontre est susceptible d'éveiller l'impensable. »
Une chanson de 8 minutes..
Si l'on pouvait faire les comptes, sans doute une parmi les chansons que j'ai le plus écoutées... depuis presque 30 ans..
Il y aurait tant à dire...
Le texte se suffit il à lui même..
Le bien, le mal
Ça fait couler des larmes
Ça nous rend végétal
On passe toujours des mains blanches aux mains sales
Tout est bien qui finit mal
La vie, la mort
Ça divise tout ton corps
Ça crée un faux départ
Quand l'homme qui vient d'entrer c'est l'même qui sort
Une double vie pour une seul mort
Arrose-moi du soir au matin
Fais couler ta vie dans mes veines
J'suis en train de sécher dans mon coin
Pogné entre...
L'amour et la haine
Ça divise mal la semaine
Le coeur vide, la bouche pleine
Pendant que la vie cherche à briser ses chaînes
La mort fait des noeuds dans mes veines
Quand t'as pas le choix de tout connaître
Tu prends une tête faite sur mesure
Quand ton seul choix c'est de disparaître
Tu prends un corps qui prend l'usure
C'est bête, ma tête m'fait mal au coeur
Je crains la tempête
Comme une fleur
J'deviens terne
Puis j'm'enferme
Encore plus creux
La peur me cerne...
Sous les yeux
J'passe des nuits blanches
À chercher quoi faire de mes journées
Dur comme une planche
J'veux grimper au plafond
Mais j'suis pris dans l'planche
J'peux pu rester
J'peux pas m'en aller
J'attends en silence
Ma délivrance
J'peux pu dormir
J'peux pas choisir
J'me chante à chaque soir
Une chanson noire
II. "Pour une blanche cérémonie"
Prends ma main
Peux-tu serrer la corde et mon poing?
Fleur noire, t'as besoin d'eau
Rentre ton épine dans ma peau
Prends ma main
Réchauffe mon nez, moi j'sens plus rien
Neige noire, poudre d'hiver
Viens givrer sur mon enfer
Loués soient ceux qui vivent plus haut
Moi, j'ai loué la place juste pour m'servir du lavabo
Mon sang coule et passe comme de l'eau
Prends ma main
Brûle un parfum, découvre ton sein
Blanche cérémonie
De peur de donner la vie
Bienheureux ceux qui font du bien
Moi, j'suis bien heureux quand j'pense à faire rien
Mon sang prend du vieux
Comme le vin
Donne-moi à manger, j'ai faim
Donne-moi une lueur, j'ai peur
Y'a rien qu'toi qui peut l'faire
Parce que moi, je fais rien
J'ai soif, j'ai faim
J'veux tout gober, meme le refrain
Verse encore de l'eau dans mon vin
Prends ma main
Traine-moi encore jusqu'à l'autre refrain
Chant noir, cri religieux
Tu rougis le blanc des yeux
Vivent tous ceux qui chantent plus fort
Moi, j'vis de tous ceux qui pensent devoir crier encore
Mon sang est silencieux
Comme de l'or
Donne la vérité, j'ai faim
Donne-moi du bonheur, j'ai peur
Y'a rien qu'toi qui peut l'savoir
Parce que moi, j'sais rien
J'ai soif, j'ai faim
J'veux pas m'éteindre comme le refrain
Fleur noire, tombe sur ma peau
Neige noire, glace mon dos
Chanson noire, berce mon cerveau
Sortir quelques phrases de cette chanson est impossible
alors.. ne rien dire.. écouter, une fois encore...
et quand même...
Prends ma main
Peux-tu serrer la corde et mon poing?
Fleur noire, t'as besoin d'eau
Rentre ton épine dans ma peau
Prends ma main
Prends ma main
Traine-moi encore jusqu'à l'autre refrain
Allez viens...
J'veux pas d'visite...
Il y a un nombre de raisons infini, pas forcément à cause des autres, mais en tout cas elle en évoque déjà un ptit nombre...
Que dire...
Que c'est une chanson de tant de choses
Ces chansons qui allument les souvenirs...
C'est une de ces chansons qui s'accroche à l'âme..
Je sens le désespoir
Je suis entré dans son champ magnétique
J'entends ses ailes noires
Une fois encore sur ma musique
J'ai cherché une autre vision du réel
Pour soigner cette blessure mortelle
J'ai crié très fort pour qu'on entende
Tous les mots qu'on a pas su comprendre
Tous les mots d'amour que j'écrivais
Un jour
Encore une fois je pars
Poussé par les alizés synthétiques
Encore une fois je pars
En solitaire sur l'Atlantique
Ce piano qui sait raffiner ma douleur
Ce piano qui sait lorsque c'est l'heure
Qui disait que quand on aime
Il faut partir
Ne pas s'installer
Ne pas dormir
Dévorer l'espace
Ne pas laisser de traces
Je ne veux pas mourir
Je ne veux voire que le couchant du Pacifique
Je ne veux pas vieillir
Avec cette précision mathématique
Oublier la notion du bien et du mal
Je suis libre comme un animal
J'ai souvent changé ma peau pour du métal
C'que tu penses de moi, m'est bien égal
Si je chante c'est pour ne pas mourir
Un jour
... alors.... moi je ne chante pas...
J'écris et ....
Les jours de pluie à les écouter (il pleut, aujourd'hui).
Pour "Les îles au soleil", chanson culte, et beaucoup d'autres à fredonner...
J’avale toujours
des mouches
Quand je roule sur
mon vélo
Je roule la bouche
ouverte
Je dois être
un peu idiot
J’ai attrapé
ta main
J’la lâcherai
pas de sitôt
Je chante cette
chanson
J’n’connais rien
de plus beau
Richard Bohringer.
Cette chanson tant passée dans Gourmandises ne pouvait que revenir, pour le concert de 1983, pour l'été en novembre..
Ta chair ma chère...
Et même si on meurt demain
Et même si tout doit un jour prendre fin
Dis-moi au moins une fois encore
Si je te mérite, ma chère
Une version avec Isabelle Adjani..
Rien à dire.. trop à dire..
Si la solitude te pèse
Quand tu viens à passer par là
Et qu'un ami t'a oubliée
Tu peux toujours compter sur moi
Et des paroles à la fin, aussi, coupées mais qui normalement sont là...
Cette chanson est un petit bijou...
Et de temps en temps
Le plafond s'éclaire
Il y a des taxis tout en bas
Dans l'appartement
Du boulevard Voltaire
Il est tard nous ne dormons pas
En reconstituant
L'histoire à l'envers
Le premier jour la nuit chez toi
Sous le plafond blanc
Les yeux grand ouverts
A quoi pensais-tu ce soir là
Ta voix lentement
Repart en arrière
Tu reviens sur les premiers pas
La gare de Milan
Le café Wepler
Montauban la chambre 23
Je sais maintenant
Depuis trois hivers
L'histoire ne se ressemble pas
Nos yeux différents
Regardent à travers
Une empreinte effacée déjà
Thème inspiré par Bryan Bell.